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Auteure de ce blog
Sylvette VERGNAC,
Office Manager indépendante à Nantes
EXPÉRIENCE
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14/10/2021
Un justificatif officiel
La facture fonctionne comme un justificatif officiel attestant d’une livraison de biens ou de services. Elle identifie le créancier (entreprise) et le débiteur (client), le montant dû et à quelle date. Elle doit être établie en 2 exemplaires (dont l’original est pour le client).
Mais l’entreprise qui cède le bien ou le service doit y apposer certaines mentions obligatoires pour la rendre valable.
Ce justificatif est une pièce qui servira par la suite à prouver l’achat. Sans lui, il devient difficile de se faire rembourser la TVA ou justifier une charge déductible. Elle sert donc de document comptable, nécessaire pour établir les comptes du travailleur indépendant ou de l’entreprise.
Parce que les erreurs coûtent souvent cher, nous vous indiquons ci-après les mentions obligatoires que toute société doit inclure.
Les mentions obligatoires sur une facture : l'identité du vendeur ou du prestataire de services
Vous devez faire figurer les mentions obligatoires suivantes sur votre facture pour permettre l'identification de votre société :
Les mentions obligatoires sur une facture : l'identité du client
Vous devez faire figurer les mentions obligatoires suivantes sur votre facture pour permettre l'identification de votre client :
Les mentions obligatoires sur une facture : la description chiffrée
Ces mentions permettent de singulariser votre facture. Les mentions chiffrées obligatoires sont les suivantes :
Les pénalités en cas de non-respect de ces obligations légales
« Une amende fiscale de 15 € par mention manquante ou inexacte pour chaque facture, plafonnée au 1/4 de son montant (source : servicepublic.fr) »
Soyez vigilent également sur le calcul de la TVA. Si vous faites une erreur (TVA trop faible ou oubliée), la correction sera toujours à votre charge et les impôts vous réclameront alors les sommes dues lors d'un éventuel contrôle fiscal.
Toutes ces mentions vous permettront une véritable conformité et pourront justifier votre achat/vente auprès de l'administration.
Pour éviter des frais dans le cadre d’un contrôle et produire des factures en règle, faites confiance à Main Office. Nous pourrons vous aider à vous construire un modèle valide pour être à la fois conforme aux règles, mais aussi juste dans votre comptabilité et votre trésorerie !
Contactez-nous !
Rédaction de cet article : Sylvette VERGNAC,
Office Manager indépendante à Nantes
10/10/2021
Les règles d’indemnisation du télétravail datent d’une époque où les abonnements Internet n’étaient pas illimités : télétravailler générait donc un coût substantiel pour le collaborateur.
Depuis, cette indemnité tend à disparaître, ce qu’ont confirmé les évolutions législatives de 2017, qui ne mentionnent plus « la prise en charge des coûts découlant directement de l’exercice du télétravail ».
L’indemnité reste toutefois de mise dans le secteur public, et prescrite par l’ANI2005 dans le cas d’un télétravail régulier.
Face à ces ambivalences, c’est la négociation avec les délégués syndicaux, ou l’avis du CSE, qui oriente généralement la décision de chaque entreprise.
Lorsqu’un employeur choisit d’indemniser le télétravail, il est fréquent que le montant soit limité à quelques euros par mois.
Cela n’est possible qu’à condition que l’employeur fournisse les outils de télétravail, et qu’il mette à disposition un local professionnel (Cass. Soc. 10-28.847).
Voici les pratiques les plus courantes :
Types de coûts | Pratiques fréquemment observées |
Informatique | Fourni par l'employeur (à défaut, indemnisation de l'usage d'outils personnels) |
Internet | Quote-part de l'abonnement, au prorata du nombre de jours télétravaillés |
Téléphonie | Fourni par l'employeur (à défaut, indemnisation de l'usage d'outils personnels) |
Dépenses d'énergie | En correspondance avec le forfait exonéré par l'Urssaf |
Loyer et charges | Uniquement si l'employeur ne met pas à disposition des bureaux |
Frais d'installation | Forfait pour des équipements ergonomiques (fauteuil, second écran...) |
Les dépenses engagées pour un collaborateur dans le cadre du télétravail sont considérées comme des frais professionnels.
Ces frais peuvent faire l’objet d’une allocation forfaitaire exonérée de cotisations et contributions sociales, dans la limite de 10 euros par mois pour un salarié effectuant une journée de télétravail par semaine.
Lorsque le montant versé par l’employeur est supérieur, une exonération est possible à condition de justifier de la réalité des dépenses.
L’Urssaf fournit des informations détaillées à ce sujet sur son site Internet.
Les assurances
En comparaison avec les accidents liés aux trajets domicile-travail, le nombre d’accidents en télétravail est infime.
Comme l’indique le Code du Travail, ce type d’accident est présumé être un accident de travail dès lors qu’il survient sur le lieu de télétravail convenu avec l’employeur, et pendant les plages horaires convenues.
La présomption d’accident peut s’avérer plus difficile lorsque les règles sont plus flexibles (exemple : salarié forfait-jour travaillant en soirée), ou lorsque les causes semblent étrangères au travail (ex : malaise cardiaque).
Dans tous les cas, l’accident doit être déclaré à la CPAM dans les 48 heures, laquelle diligentera une enquête en cas de doute sur la qualification d’accident du travail.
Le matériel utilisé dans le cadre du télétravail peut dysfonctionner et causer des dommages matériels ou corporels à des tiers (exemple : incendie).
Aussi, l’employeur doit-il s’assurer que le matériel qu’il fournit bénéficie d’une assurance responsabilité civile valide en tout lieu, ou par une assurance multirisque professionnelle pour les risques plus généraux liés à son activité (protection du matériel mis à disposition ; protection contre la destruction ou le vol ; préjudices causés à des tiers dans le cadre de son activité…).
Par ailleurs, ce matériel utilisant un réseau électrique tiers, il est de la responsabilité de l’employeur d’en vérifier la conformité aux normes de sécurité en vigueur.
A cet effet, l’employeur peut demander un certificat au télétravailleur, ou mandater une société agréée pour réaliser un diagnostic de conformité.
Par soucis de simplicité, il est fréquent qu’un employeur se satisfasse d’une « déclaration sur l’honneur » de la part du télétravailleur ; document qui n’a toutefois pas grande valeur aux yeux des autorités en cas de problème…
Il n’est pas rare qu’un employeur exige une attestation d’assurance multirisque de l’habitation du télétravailleur.
Cependant, cette attestation peut générer plus de coûts que de bénéfices :
En termes de bénéfices, cela ne sert qu’à indemniser les éventuels dégâts sur le matériel fournit par l’entreprise (exemple : fuite d’eau sur l’ordinateur).
En termes de coûts, elle peut constituer une dépense pour le télétravailleur qui n’en disposerait pas, ou qui se verrait infliger une surprime du fait qu’il télétravaille…
Chez Main office, nous bénéficions d'une assurance responsabilité civile professionnelle et de tout le matériel nécessaire pour remplir nos fonctions et répondre à vos besoins administratifs !
Rédaction de cet article : Sylvette VERGNAC,
Office Manager indépendante à Nantes
06/10/2021
Quelques étapes pour gérer son temps de travail
La gestion du temps de travail permet de planifier différentes tâches et d’établir des niveaux de priorité. Elle agit également sur la santé et la performance des collaborateurs.
1 - Apprendre à déléguer
Structurez votre activité et son fonctionnement, vous pourrez à ce moment-là déterminer ce qui peut être délégué.
Nous éprouvons souvent une difficulté à travailler en équipe et, comme il nous est impossible de tout faire, il est important de savoir transmettre des dossiers à ses collaborateurs ou à une entreprise extérieure, afin de libérer plus de temps à d’autres activités, tout en maintenant un certain niveau de contrôle.
Notez les tâches que vous effectuez, évaluez ce qui vous apporte ou vous enlève de l'énergie et demandez-vous ce que vous feriez si vous employiez plutôt votre temps sur tel ou autre sujet. Vous aurez en cela un premier aperçu des tâches qu'il serait envisageable de déléguer.
Les tâches qui entrent dans le cadre de la délégation sont les suivantes :
2 - S’organiser et anticiper
Réussir à optimiser la gestion du temps n’est pas toujours aisé pour une entreprise.
L’importance de planifier chaque projet nous permet d’appréhender les imprévus qui interviennent régulièrement.
En gestion du temps, l’évaluation de la durée de toutes les activités est primordiale pour pouvoir les planifier. Organisez votre calendrier en laissant une marge pour les tâches inattendues qui gêneront du stress de par la pression qu’elles génèrent.
Prévoyez et priorisez en fonction de l’importance et de l’urgence, même si cela vous prend un peu de temps en amont. Anticiper en connaissant déjà ce que l’on doit faire sur un ou plusieurs jours donne du sens à son action.
3 - La procrastination
Ne remettez pas au lendemain ce que vous pouvez faire le jour même… Nous remettons souvent à plus tard des échéances importantes.
Pour éviter de passer à l’action dans un domaine en particulier, nous allons développer des stratégies de fuite ou d’évitement, dans l’objectif de nous maintenir dans une certaine passivité. Alors, nous nous laissons submerger et nous pouvons commencer à nous inquiéter quand précisément les conséquences de notre procrastination deviennent pénalisantes, pour soi… ou pour les autres.
Etablir un ordre des priorités vous évitera les pertes de temps inutiles en repoussant les tâches qui ne sont pas prioritaires.
Apprenez également à gérer votre capacité de concentration dans la durée, en alternant activité et pause, élément indispensable pour renouveler cette concentration.
De temps en temps, autorisez-vous à éteindre votre ordinateur… et à remettre à plus tard !
4 - Etablir ses priorités
Et si l’une des raisons de la procrastination était le manque de ligne directrice et de visibilité ?
Commencez toujours votre journée par les priorités. Classez-les en plusieurs niveaux : ce qui est urgent, ce qui est important et le reste, et évitez les priorités concurrentes :
Ce mode d’organisation vous permettra d’obtenir une meilleure visibilité, de réduire votre stress et de vous organiser correctement dans la journée ou dans la semaine.
Gardez les tâches que vous avez l’habitude de réaliser plutôt pour les fins de journée. N’oubliez pas qu’en l’absence de délégation, vous serez également contraint(e) de gérer les autres tâches plus tard, voire dans l’urgence…
Etablir un ordre des priorités vous évitera les pertes de temps inutiles en repoussant les tâches qui ne sont pas prioritaires.
Faites le point régulièrement sur l'avancée de vos projets afin d'ajuster votre plan d'action.
N’oubliez pas qu’être organisé dans son travail est un gage de gain de temps et d'efficacité, et qu’un esprit organisé est un esprit plus serein !
Nous sommes à votre disposition pour vous alléger de toutes vos tâches chronophages et vous faire ainsi gagner en productivité !
Rédaction de cet article : Sylvette VERGNAC,
Office Manager indépendante à Nantes
03/10/2021
Il n’est pas toujours aisé de calculer un taux de TVA, ou encore de déterminer les montants HT et TTC qui y sont liés, surtout si vous n’avez jamais pu apprivoiser les maths...
Pour vous aider à vous y retrouver, voici un rapide résumé des différents taux de tva et les méthodes à reproduire pour réaliser tous les calculs dont vous avez besoin : la taxe sur la valeur ajoutée n’aura plus de secrets pour vous !
Les différents taux de TVA
S’il existe une TVA à taux normal et des TVA à taux réduit, il faut aussi considérer que les taux ne sont pas toujours les mêmes en France métropolitaine que dans les DOM-TOM ou en Corse.
Voici ces différents taux de TVA en vigueur :
France continentale et Corse : 20% (et 10% sur les boissons alcoolisées à consommer sur place en Corse) ;
Le taux normal de la TVA est fixé à 20 % pour la majorité des ventes de biens et des prestations de services : il s'applique à tous les produits ou services pour lesquels aucun autre taux n'est expressément prévu.
Guadeloupe, Martinique, Réunion : 8,5% ;
Polynésie Française : 16%.
La TVA connaît également un certain nombre d’exceptions et de taux réduits dont les plus communs sont :
Ce taux intermédiaire est notamment applicable aux produits agricoles non transformés, au bois de chauffage, aux travaux d'amélioration du logement qui ne bénéficient pas du taux de 5,5%, à certaines prestations de logement et de camping, aux foires et salons, jeux et manèges forains, aux droits d'entrée des musées, zoo, monuments, aux transports de voyageurs, au traitement des déchets, à la restauration.
Ce taux réduit concerne l'essentiel des produits alimentaires, les produits de protection hygiénique féminine, équipements et services pour handicapés, livres sur tout support, abonnements gaz et électricité, fourniture de chaleur issue d’énergies renouvelables, fourniture de repas dans les cantines scolaires, billetterie de spectacle vivant et de cinéma, certaines importations et livraisons d'œuvres d'art, travaux d’amélioration de la qualité énergétique des logements, logements sociaux ou d'urgence, accession à la propriété.
Ce taux particulier de 2,1 % est quant à lui réservé aux médicaments remboursables par la sécurité sociale, aux ventes d’animaux vivants de boucherie et de charcuterie à des non assujettis, à la redevance télévision, à certains spectacles et aux publications de presse inscrites à la Commission paritaire des publications et agences de presse.
Il est également appliqué dans les DOM-TOM pour tous les produits et services relevant en France continentale du taux réduit de 5,5 % ou du taux intermédiaire de 10 %.
(source : economie.gouv.fr)
Les méthodes de calculs
La Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) est calculée sur le prix de vente du produit/service concerné. En tant que professionnel, vous devez donc connaître le taux de TVA en vigueur pour votre activité et préciser sur votre facture :
Pour trouver le montant de la TVA à partir d’un prix HT, multipliez ce dernier par le coefficient adéquat.
Exemple :
Prix HT : | 500 € |
Taux de TVA : |
20% coefficient = 0,2 |
Montant de la TVA : | 500 x 0,2 = 100 € |
Pour calculer un prix HT à l’aide de la TVA, divisez le montant de la TVA par le coefficient correspondant à son taux.
Exemple :
Montant de la TVA : | 100 € |
Taux de TVA : |
5,5% coefficient = 0,055 |
Prix HT : | 100 ÷ 0,055 = 1818,18 € |
Pour calculer la TVA depuis un montant TTC, il faut d'abord déterminer son montant HT, puis multiplier ce montant par l’un des coefficients concernés.
Exemple :
Montant TTC : | 550 € |
Taux de TVA : |
10% coefficient = 0,1 |
Montant HT : | 550 ÷ 1,1 = 500 € |
Montant de la TVA : | 500 x 0,1 = 50 € |
Pour trouver un montant TTC à partir d'un prix HT, une simple multiplication suffit.
Exemple :
Prix HT : | 500 € |
Taux de TVA : |
20% coefficient = 1,2 |
Montant TTC : | 500 x 1,2 = 600 € |
Pour trouver un montant HT, une simple division suffit.
Prix TTC : | 1200 € |
Taux de TVA : |
10% coefficient = 1,1 |
Montant HT : | 1200 ÷ 1,1 = 1090,91 € |
Nous pouvons vous apporter un véritable support pour toutes vos déclarations de TVA :
Contactez-nous !
Rédaction de cet article : Sylvette VERGNAC,
Office Manager indépendante à Nantes
01/10/2021
30/09/2021
22/09/2021
Relation humaine, confiance, indépendance, voilà les maîtres mots qui ont présidé à la création de notre agence.
Cette certitude dans ma capacité à mettre en œuvre des connaissances et un savoir-faire, a été le puissant instigateur qui a conduit le développement de notre structure et derrière l'entreprise, il faut constamment chercher l'entrepreneur.
Née en 1972, issue d’une formation Commerciale, j'ai appris son métier sur le terrain. J'ai débuté ma carrière en tant que Gestionnaire de Comptes dans l’industrie, puis Assistante de Direction Générale dans deux grands Groupes Industriels. Gérante, Conceptrice de Projets Design, Gestionnaire de PME, j'ai enfin cumulé plusieurs expériences dans l'univers des TPE et PME.
J'exerce aujourd'hui mon métier d’Office Manager auprès de Start-Up, TPE-PME, Commerçants, Exploitants Agricoles, Artisans, Associations et Professions Libérales...
Travailler avec MAIN OFFICE, c'est l'opportunité d'avoir un partenaire qui partage exactement le même objectif que le vôtre : la réussite de votre activité !
Sylvette Vergnac
MAIN OFFICE
Services administratifs, et Office Management sur-mesure
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